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L’université Paris-VIII crée une préparation au concours de la magistrature pour des étudiants en manque de réseau personnel
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A l’ONU, le travail de sape des fausses ONG chinoises
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Déclaration de revenus : les choix à faire si vos placements vous ont rapporté de l’argent en 2024
Déclaration de revenus : les choix à faire si vos placements vous ont rapporté de l’argent en 2024

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Déclaration de revenus : les choix à faire si vos placements vous ont rapporté de l’argent en 2024

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François Bayrou entame ses consultations sur la proportionnelle
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Tuniques et turbans: les élèves afghans sommés de s'habiller en petits talibans

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Tuniques et turbans: les élèves afghans sommés de s'habiller en petits talibans

Au placard l'uniforme d'écolier: depuis la rentrée en mars, les jeunes Afghans doivent porter l'habit traditionnel des talibans, turbans et longues tuniques, et n'ont plus que leurs visages glabres pour se distinguer des adultes. Renforcer la discipline, masquer les inégalités sociales et respecter la décence prescrite par la loi islamique sont les raisons avancées par le ministère de l'Education, dont la mesure divise. "L'habillement d'après la loi islamique définit l'identité du musulman et de la musulmane. Il est un moyen de préserver la dignité de l'individu et de protéger la société contre la dépravation morale", estime le ministère dans sa circulaire. Celle-ci renforce l'uniformisation vestimentaire qui s'opère depuis le retour des talibans au pouvoir en 2021: davantage d'hommes optent pour la tenue phare des pachtounes, l'ethnie des talibans, pour s'éviter des ennuis. Déjà portés dans les écoles religieuses, le turban et le shalwar kameez (longue tunique et pantalon de couleur unie) s'imposent donc désormais à tous les élèves du public comme du privé. Les filles portent déjà des tenues imposées, souvent une longue robe noire sur un pantalon assorti et un voile blanc, dès le plus jeune âge. Et elles ne peuvent de toute façon plus étudier au-delà de 12 ans dans les écoles non-religieuses. Renvoyés faute de turban Pour les lycéens, shalwar kameez et turban blancs, pour les collégiens, tenue bleue claire et chapeau. La mesure -- signée de la main même du chef suprême des talibans, l'émir Hibatullah Akhundzada -- a mis du temps à être appliquée depuis la rentrée fin mars et l'est encore diversement à travers le pays. A Hérat, dans l'ouest, Nassir Ahmad et ses camarades n'ont plus le choix. "Nos professeurs nous ont dit de ne pas venir sans: si on n'a pas l'uniforme et le chapeau, on ne peut pas entrer en classe", dit le collégien de 13 ans à l'AFP. "J'ai vu plusieurs de mes amis refoulés car ils n'avaient pas le turban", raconte aussi Qassim, un lycéen de 17 ans, dont c'est le seul nom. "Les brigades de la Propagation de la vertu et de la Prévention du vice (PVPV) viennent surveiller". A Kandahar, berceau des talibans dans le Sud, le nouvel habit semble satisfaire les élèves. Mohammad Wali, 15 ans, se dit "très content" de porter le "vêtement du prophète". "Cela crée une distinction entre les élèves et les autres gens dans la rue", assure l'adolescent à l'AFP. A Kaboul, certains enfilent le turban au lycée et le fourrent dans leur sac dès la sortie. Trop cher Et parmi les enseignants et directeurs d'établissement, eux aussi forcés de troquer le costume-cravate ou tenue décontractée pour un turban noir, certains grincent des dents. "Aujourd'hui tout le monde se ressemble: un docteur ne ressemble plus à un docteur et un cuisinier ne ressemble plus à un cuisinier", se désole le directeur d'un lycée de la capitale. "L'uniforme crée de la discipline", concède-t-il sous le couvert de l'anonymat par peur de représailles. Mais pour certaines familles, relève-t-il, débourser 1.000 afghanis en moyenne, soient 12 euros, est impossible, dans un pays où 85% des habitants vivent avec moins d'un dollar par jour. "S'il y a cinq ou six enfants par famille, comment font-elles ?", s'interroge-t-il dans son bureau. De fait, les élèves portent leurs habits neufs dans des écoles souvent vétustes, des classes parfois sans pupitres et avec un grand tapis pour seul endroit où s'asseoir face au tableau. Dans les zones reculées, la classe se fait parfois en extérieur à l'ombre des arbres, voire aux abords d'un cimetière comme dans le village de Mohmand Dara, dans la province de Nangarhar. Pas de quoi ébranler les inspecteurs: désormais, dit le directeur à Kaboul, des responsables du ministère de l'Education débarquent dans son établissement deux à trois fois par semaine pour surveiller le port des uniformes. "Les gens en Afghanistan n'ont pas le choix", se désole-t-il. "Ils obéissent et ils ne peuvent pas se plaindre".

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La France a enregistré une croissance sans éclat au premier trimestre

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La France a enregistré une croissance sans éclat au premier trimestre

L'activité économique française a progressé de 0,1% au premier trimestre, une évolution sans éclat alors que le gouvernement entend intensifier ses efforts budgétaires, dans un contexte d'incertitudes commerciales. Cette hausse modérée du produit intérieur brut (PIB) entre janvier et mars, conforme à la prévision de l'Institut national de la statistique (Insee) français, succède à la contraction de 0,1% qui avait été observée au quatrième trimestre 2024 en raison du contrecoup des Jeux olympiques de Paris. Au premier trimestre, la croissance de la deuxième économie de la zone euro a souffert d'une consommation des ménages sans dynamisme, stable malgré le net repli de l'inflation, après une progression de 0,2% au cours des trois mois précédents. Les investissements ont évolué en territoire négatif (-0,2% après -0,1%): tant ceux des entreprises que des ménages et des administrations publiques sont concernés, selon cette première estimation de l'Insee. La contribution du commerce extérieur est également négative (-0,4 point) en raison d'une nette diminution des exportations (-0,7%) alors que les importations ont augmenté de 0,4%. En revanche, les variations de stocks ont contribué positivement à hauteur de 0,5 point à l'évolution du PIB. Cette publication de la croissance française précède celle de l'Allemagne, de l'Italie et de la zone euro, tandis que l'Espagne a vu son PIB augmenter de 0,6% au premier trimestre. Elle intervient dans un contexte politique toujours instable en France, le gouvernement minoritaire de François Bayrou étant régulièrement menacé de censure. "La situation politique en France a été très incertaine, et on a du mal à imaginer une quelconque embellie de croissance", estime Stéphane Auray, professeur d'économie à l'ENSAI (Ecole nationale de la statistique et de l'analyse de l'information) et à Rennes School of Business. "Effet récessif" La chute du précédent gouvernement en décembre avait entraîné un retard de plusieurs semaines dans l'adoption du budget 2025 - finalement promulgué mi-février - et le gel temporaire des dépenses publiques au niveau de l'année précédente. "Six semaines où elles ont été fortement restreintes, ça va peser sur l'évolution du PIB au premier trimestre", observe Charlotte de Montpellier, économiste chez ING. Autre facteur pénalisant, les 50 milliards d'euros de baisse des dépenses et hausse des prélèvements prévus au budget pour assainir des finances publiques très dégradées. Or, selon l'Insee, la dépense publique avait jusqu'alors permis d'atténuer la faiblesse de l'investissement. Un nouvel effort de 40 milliards est espéré en 2026. Selon Eurostat, la France affiche le pire déficit public de la zone euro pour 2024, à 5,8%. Le gouvernement entend le ramener à 5,4% puis sous le plafond européen de 3% en 2029. Son endettement (113% du PIB) est le troisième plus lourd après la Grèce et l'Italie. Au tour de vis budgétaire s'ajoute l'offensive protectionniste du président américain Donald Trump, qui aura "forcément" des conséquences pour l'Europe, selon Stéphane Auray. Des droits de douane de 10% sont actuellement appliqués par les Etats-Unis sur les importations de biens provenant d'Europe et des discussions sont en cours pour essayer d'éviter qu'ils ne soient relevés davantage. Mais jeudi à Washington, le ministre français de l'Economie Eric Lombard avait estimé un accord "encore loin". Pour tenir son objectif de déficit en 2025, le gouvernement a aussi acté samedi 3,1 milliards d'euros d'annulations de crédits. Une "nouvelle coupe" qui, selon le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Eric Coquerel (La France insoumise, gauche radicale), "devrait avoir un effet récessif". - "Ralentissement" - Le député réclame le dépôt par le gouvernement, au "printemps ou début de l'été", d'un projet de loi de finances rectificative afin que le Parlement puisse "discuter de nouvelles recettes". Dans ce contexte, après 1,1% en 2024, la croissance est attendue en net ralentissement en 2025, à 0,7% par le gouvernement comme la Banque de France, avec le risque aussi de voir le chômage remonter légèrement. Le gouverneur de la banque centrale François Villeroy de Galhau n'a pas exclu lundi "une tendance au ralentissement" lors de l'actualisation des prévisions de l'institution en juin, tout en misant aussi sur "certains éléments qui peuvent jouer positivement, comme la relance en Allemagne". L'Insee ne fournit pas encore de prévision annuelle, tandis que le FMI table sur une croissance de 0,6% pour 2025.

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Meurtre d’Aboubakar Cissé à la mosquée de la Grande-Combe : qui protège les musulman·es ?
Meurtre d’Aboubakar Cissé à la mosquée de la Grande-Combe : qui protège les musulman·es ? » Indymedia Nantes

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Meurtre d’Aboubakar Cissé à la mosquée de la Grande-Combe : qui protège les musulman·es ? » Indymedia Nantes

Vendredi 25 avril au matin, Aboubakar Cissé, un jeune homme d’une vingtaine d’années, a été sauvagement assassiné à la mosquée Khadidja de La Grande-Combe, dans le Gard. Bien que l’enquête soit toujours en cours, le mobile islamophobe fait peu de doute : l’assaillant a filmé sa victime en revendiquant son attaque et en s’écriant «  ton Allah de merde  ». Tsedek! présente ses plus sincères condoléances à la famille d’Aboubakar Cissé et à ses proches, et affirme son soutien à la communauté musulmane après ce drame. L’émotion et le scandale que devrait provoquer une attaque d’une telle gravité ont pourtant mis un certain temps à transparaître dans les médias nationaux, qui ont initialement fait preuve d’une retenue dont ils sont peu coutumiers en d’autres circonstances. Les premiers articles sur le sujet évoquent un possible « règlement de comptes entre fidèles », sans remarquer le caractère ostensiblement islamophobe du crime. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau n’a pour sa part pas cru bon de bouleverser son agenda. Se contentant d’un tweet assurant de son «  soutien » à la famille et de « sa solidarité  » à la communauté musulmane, le programme du reste de sa journée a été consacré à un meeting de campagne pour la présidence du parti Les Républicains. Par la suite, d’autres réactions se sont fait entendre au compte-goutte ; partout du «  soutien  » s’exprime, y compris chez Marine Le Pen. Pourtant, très peu font mention de l’évidence, de Bruno Retailleau qui a indiqué aujourd’hui sur BFM « ne pas connaître le mobile » du crime, jusqu’à une partie de la gauche qui rivalise d’euphémismes pour ne pas dire les choses telles qu’elles sont : la mort d’Aboubakar Cissé est un meurtre islamophobe. Ce drame n’est malheureusement pas un fait isolé. Le 31 août dernier, Djamel Bendjaballah était assassiné à Dunkerque par un militant d’extrême-droite, après avoir déposé plainte plusieurs fois  pour signaler les injures racistes qui le visaient. La police avait pourtant écarté tout mobile raciste, et évoqué un «  crime passionnel  » – qualification dont le combat féministe a largement démontré, à propos des féminicides, la nature dépolitisante. Cet assassinat n’avait été rapporté que par le média en ligne Blast, sans que les chaînes d’information en continu ne voient alors l’intérêt d’une édition spéciale. De la même façon, le 8 avril, deux femmes avaient été violemment passées à tabac à Joué-lès-Tours aux cris de «  Rentrez chez vous, sales Arabes  » ; les faits n’avaient été relayés que dans la presse régionale. Pour les comprendre, il est absolument nécessaire de resituer ces crimes et ces agressions dans le continuum des discours et des politiques racistes qui structurent aujourd’hui la société française. Ils sont les conséquences très concrètes d’une islamophobie ouvertement entretenue par l’État français et les grands médias. L’année qui vient de s’écouler a ainsi vu plusieurs figures de la communauté musulmane être expulsées ou menacées d’expulsion du jour au lendemain, de l’imam Mahjoub Mahjoubi au président de la mosquée de Pessac, Abdourahmane Ridouane. En février dernier, l’humoriste Merwan Benlazar a pour sa part été exclu du service public à la suite d’une campagne raciste lancée par la députée européenne macroniste et ancienne membre du GUD Nathalie Loiseau. Entre temps, BFM TV avait trouvé le moyen d’imputer la pénurie d’œufs aux repas de rupture du jeûne du Ramadan. Le dernier épisode en date de cette longue série sont les débats indignes sur les musulman·es et le football, qu’il s’agisse des joueurs professionnels accusés d’entorse à la laïcité lorsqu’ils rompent le jeûne du Ramadan ou des femmes interdites de jouer à cause de leur hijab. Le point culminant de cette polémique avait été l’intervention nauséabonde de Bruno Retailleau le 26 mars dernier au colloque « pour la République » organisé par le lobby pro-israélien Elnet et soutenu par le mécène de l’extrême-droite Pierre-Edouard Stérin. Le ministre de l’intérieur s’était alors exclamé «  à bas le voile !  » sous les applaudissements nourris de la salle. C’est cette islamophobie d’atmosphère qui crée les conditions et encourage le passage à l’acte meurtrier. La normalisation de l’islamophobie à tous les niveaux de la société française ne peut être comprise indépendament de la manière dont est traité un autre racisme, en l’occurence l’antisémitisme. L’agression antisémite du rabbin d’Orléans le 22 mars avait suscité une indignation immédiate et justifiée, ainsi que de vives réactions de la part des membres de la quasi intégralité des champs politique et médiatique. Ceux-ci avaient immédiatement cherché à politiser ces faits en les analysant sous le prisme de la théorie raciste du « nouvel antisémitisme », en suggérant des liens honteux avec « l’immigration » et en en imputant la responsabilité à La France insoumise. À l’inverse, le meurtre d’Aboubakar Cissé est totalement dépolitisé par la majorité de la classe politique et les médias mainstream ; aucun lien n’est évidemment fait avec les lois racistes qui s’accumulent, ni avec l’obsession pour le voile qui sature le débat public. Ce deux poids, deux mesures mortifère illustre bien ce que permet à une bonne part de la classe politique française sa lutte de façade contre l’antisémitisme : accompagner la dérive autoritaire de l’État contre les migrant·es et les musulman·es, criminaliser l’opposition, et invisibiliser la principale ligne de front du combat antiraciste en France qu’est aujourd’hui l’islamophobie. À ce titre, il est particulièrement révélateur qu’une bonne part de l’attention médiatique portée au rassemblement en hommage à Aboubakar Cissé et contre l’islamophobie du dimanche 27 avril se soit bornée  à dénoncer l’exclusion de Jérôme Guedj pour des motifs prétendument antisémites, alors même que celui-ci incarne de manière paroxystique l’islamophobie du PS et le soutien au génocide en Palestine. Le climat de racisme envers les musulman·es devient de plus en plus irrespirable dans notre pays. Cet état de fait est largement entretenu par une grande majorité du personnel médiatique et politique, que ce soit par conviction ou par un opportunisme électoral cynique, au mépris des conséquences réelles qu’ont les politiques et les discours racistes sur la vie de celles et ceux qui les subissent. Dans ce contexte, il est plus que jamais crucial de recentrer le débat sur la question du racisme. L’enjeu est de bâtir un front antiraciste, en ciblant particulièrement l’islamophobie, moteur central de la fascisation en cours, et d’apporter une réponse politique à une question qui ne devrait même pas se poser : qui aujourd’hui protège les musulman·es de notre pays ? https://tsedek.fr/2025/04/28/meurtre-daboubakar-cisse-a-la-mosquee-de-la-grande-combe-qui-protege-les-musulman·es/

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Une jeune femme sur cinq ne se considère pas hétérosexuelle, selon une étude de l’INED
Une jeune femme sur cinq ne se considère pas hétérosexuelle, selon une étude de l’INED

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Une jeune femme sur cinq ne se considère pas hétérosexuelle, selon une étude de l’INED

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Play-offs NBA: Boston et Indiana qualifiés, Détroit résiste aux Knicks

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Play-offs NBA: Boston et Indiana qualifiés, Détroit résiste aux Knicks

Le champion Boston, contre Orlando, et Indiana, face à Milwaukee, se sont qualifiés pour les demi-finales de conférence Est, alors que les Detroit Pistons, désormais menés 3-2, ont arraché le droit à un sixième match sur le parquet des New York Knicks, mardi en NBA. . Boston sans trembler Malgré la perte du troisième match de la série, Boston n'a pas tremblé pour conclure son premier tour à domicile (4-1) avec un succès autoritaire contre le Magic d'Orlando 120 à 89. Alors qu'ils ont pris l'habitude de multiplier les tirs longue distance, les Celtics n'ont pas réussi un seul panier à trois points avant la mi-temps (six tentatives seulement), se retrouvant menés 49 à 47, dominés notamment sous le cercle (dix rebonds offensifs pour le Magic, un seul pour les C's). Mais le champion a accéléré largement lors du troisième quart-temps (gagné 36 à 13) dans le sillage de Jayson Tatum (35 points, 8 rebonds, 10 passes) et Jaylen Brown (23 points), avec cette fois un festival de loin (13 sur 18). "Nous n'avons pas aimé notre façon de jouer en première période (...). Mais nous sommes les champions, nous pouvons jouer de plusieurs façons, avec plusieurs combinaisons de joueurs. Le Magic nous a forcé à jouer différemment, on a réussi à s'adapter", a apprécié Tatum. . Indiana finit bien Par deux fois, les Pacers ont réussi à combler l'écart en fin de rencontre, d'abord pour arracher une prolongation puis pour s'imposer sur le fil contre les Bucks 119 à 118, qu'ils éliminent au premier tour des play-offs pour la deuxième saison consécutive. Indiana affrontera en demi-finale de conférence Est Cleveland, qui avait fini lundi de balayer Miami 4-0. Pourtant privés de leur meneur All-Star Damian Lillard, victime d'une rupture du tendon d'Achille gauche, les Bucks ont offert une résistance inattendue sur le parquet des Pacers. Les coéquipiers de Giannis Antetokounmpo, en triple-double (30 points, 20 rebonds, 13 passes), ont compté jusqu'à 20 points d'avance dans le deuxième quart-temps, puis quatre à 53 secondes de la fin. Mais deux lancers francs suivis d'un dunk de Tyrese Haliburton (26 points, 9 passes) ont permis à Indiana d'égaliser, avant qu'Antetokounmpo ne manque le tir de la victoire. En prolongation, l'inattendu Gary Trent Jr. (33 points) a alors offert un show magnifique, les Bucks prenant sept points d'avance à 40 secondes du terme. Haliburton a ramené les locaux à un point avant une perte de balle fatale de Trent Jr. sur une maladresse, offrant un dernier ballon converti en lay-up par Haliburton. La défaite sonne comme une fin de cycle à Milwaukee, champion en 2021 mais battu au premier tour des phases finales pour la troisième saison de suite. La franchise pourrait selon certains experts se séparer d'Antetokounmpo afin d'entamer une reconstruction. . Les Pistons résistent Au bord de l'élimination, les Pistons ont réussi à s'imposer 106 à 103 chez les Knicks, qui ne mènent plus que 3-2 avant un match 6 jeudi à Détroit. Les deux formations ont offert un nouveau duel intense et serré, l'écart ne grimpant jamais au-dessus des dix points, avec 18 changements de leader. A huit reprises les deux équipes ont été à égalité dans le quatrième quart-temps, notamment après un tir très lointain de Karl-Anthony Towns (17 points, 11 rebonds) à 3 min 25 de la sirène (95-95). Alors que Josh Hart (15 points) et Jalen Brunson (16 points), de façon temporaire, ont dû sortir touchés, deux paniers après un rebond offensif de Jalen Duren (9 points, 14 rebonds) puis un lay-up de Ausar Thompson (22 points) après une délicieuse passe de Cade Cunningham (24 points, 8 rebonds, 8 passes) ont permis aux Pistons de prendre six points d'avance à 27 secondes. Deux tirs miraculeux de Mikal Bridges (17 points) puis OG Anunoby (19 points) ont laissé les Knicks à portée, mais Cunningham est resté solide sur la ligne des lancers francs pour conclure. Le vainqueur de la série affrontera Boston au prochain tour. . Denver et Murray accélèrent Les Denver Nuggets, champions en 2023, ont brillé face aux Los Angeles Clippers, battus 131 à 115, pour mener 3-2 avant le match 6 en Californie jeudi. Nikola Jokic a validé un triple-double (13 points, 10 rebonds, 12 passes) mais n'a pas eu besoin de forcer en attaque pendant que son coéquipier canadien Jamal Murray flambait avec 43 points à 17 sur 26 au tir (8 sur 14 de loin). Ivica Zubac (27 points) et Kawhi Leonard (20 points, 9 rebonds, 11 passes) ont tenté de résister pour les Clippers, qui n'ont jamais mené, tandis que James Harden a été maladroit. Le Français Nicolas Batum a rempli sa tâche de coéquipier (aucun point, 6 rebonds, 2 passes), s'offrant un joli contre sur Jokic.

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Tennis/Dopage: Sinner se défend d'avoir bénéficié d'un "traitement de faveur"

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Tennis/Dopage: Sinner se défend d'avoir bénéficié d'un "traitement de faveur"

Le N.1 mondial Jannik Sinner, qui s'apprête à faire son retour en compétition après trois mois d'une suspension controversée pour dopage, a balayé l'idée selon laquelle il aurait bénéficié d'un traitement de faveur de la part des autorités antidopage. "J'ai été un peu critiqué sur le fait que j'aurais été traité différemment, mais ce n'est pas vrai. Personne n'a de traitements de faveur", a-t-il déclaré dans un entretien à la Rai diffusé mardi soir. "Il y a eu tant et tant d'audiences (des autorités antidopage), on m'a contrôlé peut-être plus que les autres", a poursuivi l'Italien qui doit faire son retour à l'occasion du Masters 1000 de Rome (7-18 mai). "Je ne veux pas répondre ou réagir (aux critiques), ils sont libres de dire ce qu'ils veulent et juger les gens. Pour moi, ce qui compte c'est que je sais ce qu'il s'est passé, c'était difficile et je ne souhaite à personne de passer d'innocent à vivre ce que j'ai vécu", a ajouté le vainqueur du dernier Open d'Australie. Contrôlé positif au clostebol en mars 2024, Sinner avait expliqué la présence de cet anabolisant dans ses échantillons par une contamination accidentelle, via un massage prodigué par un membre de son entourage. Il avait été initialement blanchi par l'Agence pour l'intégrité du tennis (Itia), décision que l'Agence mondiale antidopage (AMA) a contestée devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour demander un à deux ans de suspension. Début février, Sinner et l'AMA ont conclu un accord pour une suspension de trois mois qui prendra fin le 4 mai, accord critiqué par plusieurs joueurs, en activité ou retraité, ou sa compatriote et championne olympique de natation, Federica Pellegrini. "A mes yeux, quand il y a contamination comme cela s'est produit pour moi, ou si tu absorbes quelques chose en mangeant sans t'en rendre compte comme cela peut arriver et que les docteurs disent que cela ne te donne pas plus de force ou de lucidité, c'est une autre affaire, il y a tout un protocole", a insisté Sinner. "J'ai vraiment eu du mal à accepter ces trois mois de suspension, car dans mon esprit, je n'ai rien fait de mal", a-t-il relevé. "Douze mois de difficultés" L'Italien est revenu sur sa saison 2024 disputée sous la menace d'une longue suspension, ce qui ne l'a pas empêché de remporter huit titres, dont l'Open d'Australie, l'US Open et les Masters ATP. "Je ne sentais pas comme un joueur devrait se sentir sur le terrain, on s'entraine pour se faire plaisir en faisant des grands matches et ce plaisir disparaissait jour après jour", a-t-il avoué. Durant "ces douze mois de difficultés", il a dit avoir touché le fond en janvier à l'Open d'Australie, ressentant l'envie de "tout laisser tomber". "Je n'étais pas à l'aise dans les vestiaires, au restaurant du tournoi, les autres joueurs me regardaient de façon différente", a-t-il déclaré. Ce ne plaisait pas du tout, je me suis dit que vivre le tennis comme ça me pesait beaucoup".

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France: le PIB en légère hausse de 0,1% au premier trimestre, selon l'Insee

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France: le PIB en légère hausse de 0,1% au premier trimestre, selon l'Insee

L'activité économique de la France a enregistré une légère progression de 0,1% au premier trimestre, freinée dans son élan par une consommation des ménages atone et des investissements en berne, a indiqué mercredi l'Insee en publiant sa première estimation pour la période. Cette hausse modérée du produit intérieur brut (PIB) entre janvier et mars, conforme à la prévision de l'Institut national de la statistique, succède à la contraction de 0,1% qui avait été observée au quatrième trimestre 2024 en raison du contrecoup des Jeux olympiques de Paris. Au premier trimestre, la croissance de la deuxième économie de la zone euro a souffert d'une consommation des ménages sans dynamisme, stable après une progression de 0,2% au cours des trois mois précédents. Les investissements ont continué à évoluer en territoire négatif (-0,2% après -0,1%): tant pour les entreprises que les ménages et les administrations publiques La contribution du commerce extérieur est également négative (-0,4 point) en raison d'une nette diminution des exportations (-0,7%) alors que les importations ont augmenté de 0,4%. En revanche, les variations de stocks ont contribué positivement à hauteur de 0,5 point à l'évolution du PIB. Cette publication de la croissance en France précède celle de l'Allemagne, de l'Italie et de la zone euro. Elle intervient dans un contexte politique toujours instable, le gouvernement minoritaire de François Bayrou étant régulièrement menacé de censure, et des fortes incertitudes internationales.

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Avec « La Tendresse », aux Bouffes parisiens, les clichés de la virilité démantelés
Avec « La Tendresse », aux Bouffes parisiens, les clichés de la virilité démantelés

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Avec « La Tendresse », aux Bouffes parisiens, les clichés de la virilité démantelés

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La rapidité de l’effondrement des populations d’insectes confirmée par une expérience de science participative
La rapidité de l’effondrement des populations d’insectes confirmée par une expérience de science participative

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La rapidité de l’effondrement des populations d’insectes confirmée par une expérience de science participative

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Formation des enseignants : « La pédagogie et les métiers de l’enseignement ne sortiront de ce nouveau processus ni mieux reconnus ni plus ambitieux »
Formation des enseignants : « La pédagogie et les métiers de l’enseignement ne sortiront de ce nouveau processus ni mieux reconnus ni plus ambitieux »

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Formation des enseignants : « La pédagogie et les métiers de l’enseignement ne sortiront de ce nouveau processus ni mieux reconnus ni plus ambitieux »

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Une plateforme de signalement contre la « haine antimusulmane », « menace majeure pour notre République »
Une plateforme de signalement contre la « haine antimusulmane », « menace majeure pour notre République »

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Une plateforme de signalement contre la « haine antimusulmane », « menace majeure pour notre République »

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Les merveilleux bronzes d’Angkor s’exposent au Musée Guimet, à Paris
Les merveilleux bronzes d’Angkor s’exposent au Musée Guimet, à Paris

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Les merveilleux bronzes d’Angkor s’exposent au Musée Guimet, à Paris

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